27/02/2009
COMMENT AIMENT LES HOMMES ?
On accuse souvent à tort les hommes de ne pas avoir « couper le cordon ombilical », d’être des « ZOB’cds », de se « foutre de tout » (et de rien à la fois…), de ne pas être « assez matures », de « ne pas avoir les moyens financiers pour assumer la création d’une famille », en clair de ne pas « être parfaits », voire « incapables » de vivre le « Grand Amour » ! Et bien, il n’en est rien ! Et le magazine « Psychologies, mieux vivre sa vie », n° 282, de février 2009, le prouve… Il consacre à ce sujet un article très intéressant intitulé « Comment aiment les hommes… Mieux comprendre leurs difficultés, leur sexualité, leur différence ». Finalement, on y découvre que les Hommes ne sont pas dépassés, paumés, angoissés et incapables de « bien aimer », mais sensibles et émouvants, tout en restant forts et rassurants. Ces derniers préfèrent même « aimer sans se poser de questions » des « femmes qui ont imposé de nouveaux codes amoureux, dont les hommes n’ont pas la maîtrise ». Une situation dont bon nombre d’entre eux souffrent… car on leurs fait payer injustement des siècles de misogynie passés. En voulant combler toutes les exigences des femmes, ils en oublient en plus les leurs. Ils aiment certes à leur façon, mais aiment (quand ils aiment) de façon absolue, sans tabous et sans complexes. En clair, c’est « tout ou rien ! », selon Umberto Galimberti, psychanalyste et philosophe italien de son état. Ce dernier affirme, même, que « seuls ceux qui ont accepté leur part de féminité peuvent s’engager dans une relation vraie. » Alors, si les hommes ont perdus leurs repères, face à des femmes plus expertes et plus exigeantes, si les mâles s’angoissent de ne pas être à la hauteur ou de devenir des « hommes-objets », il n’en reste pas moins, Mesdames, que ces hommes nouveaux ne sont pas des machos-bobos comme leurs pères et grands-pères ! Ils souhaitent désormais conjuguer, échanger, un « bien-être », un « véritable état de grâce », une « complicité », de la « tendresse » avec leur compagne, qui souvent leurs refuse un MVA (Minimum Vital Amoureux) bien mérité. En conclusion, ils ne chassent plus, ils cueillent l’Amour, le vrai ! Alors, Mesdames, profitez de cette magie retrouvée entre les hommes et les femmes, sous peine de passer définitivement à côté de l’essentiel, sous peine de ne jamais trouver « l’homme idéal » (ce qui n’existe pas, ainsi que la femme idéale d’ailleurs).
© Jean Dorval, le 27 février 2009, pour LTC.
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26/02/2009
LES DERNIERES NOUVELLES DES EDITIONS TEMPORA...
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25/02/2009
A VOIR AU CINE : « AU DIABLE STALINE, VIVE LES MARIES ! »
Le film « Au diable Staline, vive les mariés » a été réalisé par les Roumains Horatiu Malaele et Vlad Paunescu. Cette comédie dure 1h27. L’histoire est simple : en Roumanie de nos jours, une équipe de tournage spécialisée dans les reportages sur les phénomènes paranormaux arrive dans les ruines d’un étrange village… Et le vieil homme qui les a amené là raconte… Deux jeunes amants (les rôles principaux tenus par A. Potocean et M. Andrea Victor), en 1953, sont contraints de se marier, à cause de la pression qu’exercent sur eux leurs familles et les habitants de leur village. En clair, ils doivent régulariser leur « situation », et ce, pour leur plus grand bonheur, car ils s’aiment ! Mais voilà, le « Petit Père des Peuples », le criminel de guerre et contre l'Humanité, Staline (qui a plusieurs millions de morts sur la conscience), vient de mourir, et plusieurs jours de deuil national sont décrétés en ex-URSS et dans les pays satellites. En clair, leur mariage est interdit… Ils iront, cependant, contre ce diktat communiste et cela va tourner au cauchemar ! Le village sera rasé et les hommes déportés au goulag ne reviendront jamais. Ce sujet très brûlant, qui mériterait un Nuremberg du Communisme à lui tout seul, est traité, envers et contre tous, avec humour, avec un humour très Roumain à se bidonner (malgré les circonstances dramatiques). "La chute finale..." n’en est que plus dure pour les spectateurs ! Un film, au titre très évocateur, que je vous conseille de voir, ne serait-ce que pour réveiller en chacun de nous "le devoir de mémoire", tous "les devoirs de mémoires" bien sûr !
© Jean Dorval, pour LTC, le 25.02.09.
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METZ, UN RETOUR A LA FRANCE A VIVRE GRACE AU RL...
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20/02/2009
POUR OU CONTRE L'OUVERTURE DES MAGASINS LE DIMANCHE ? LISEZ CE LIVRE !
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19/02/2009
AUJOURD'HUI DIMANCHE, LE MENSUEL DE LA PRIERE QUOTIDIENNE
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21/11/2008
A VOIR LE DERNIER FILM DE CLINT EASTWOOD : « L’ECHANGE »
Avez-vous déjà imaginé, une seule fois, le matin en partant au travail, que vous ne reverrez plus, définitivement, votre ou vos enfant(s), à votre retour le soir à la maison ? Certainement pas ! Comment réagiriez-vous, alors, si un tel scenario catastrophe devait se produire dans votre vie ? Vous seriez probablement effondrés, en état de souffrance extrême, à cause de la disparition brutale de la chair de votre chair, et ce, comme les nombreux parents à qui cela est déjà arrivé. Que cela fasse suite à une séparation douloureuse, due à un divorce qui se passe mal ; à un décès pour cause de maladie grave, d’accident domestique quelconque, voire d’un meurtre ; ou après un enlèvement qui vous coupe définitivement de votre progéniture... le vide affectif ainsi créé ne pourra jamais être comblé. Alors, le sentiment d’impuissance, d’injustice, mêlé à la douleur, l’angoisse et l’incompréhension, vous poursuivra toute votre existence… L’implacable dureté de la vie se paye souvent au prix fort ! Et justement, à ce propos, « L’Echange » (titre original : « The Changeling », distributeur : Universal Pictures International, film américain, drame, en compétition au Festival de Cannes 2008, sortie nationale le 12 Novembre 2008, durée 2h21), le dernier long métrage réalisé par Clint Eastwood, produit par Ron Howard, Brian Grazer et Clint Eastwood, et dont le scénario a été écrit par Joseph Michael Straczynski, parle de la disparition d’un enfant… Dans les rôles principaux, on y trouve Angelina Jolie campant avec brio Christine Collins, standardiste superviseur à la « Pacific Telephone and Telegraph » ; John Malkovich interprétant le Révérend Gustav Briegleb, évangéliste radio presbytérien ; Jason Butler Harner jouant Gordon Northcott, le serial killer ; Jeffrey Donovan incarnant le capitaine J.J. Jones ; et Michael Kelly se mettant dans la peau du détective Lester Ybarra.
Christine appelle la police, suite à la disparition de son fils.
« L’ECHANGE » DEVIENT, A N’EN PAS DOUTER, LE MEILLEUR FILM D’EASTWOOD !
En voyant « L’Echange », on se rend compte, de suite, que « Million Dollar Baby » n’est plus le meilleur film de Clint Eastwood. En effet, cette histoire invraisemblable est un bouleversant plaidoyer, pour toutes les mamans qui perdent leur enfant. Il s’agit d’un pur moment d’émotion. La réalisation est d’ailleurs brute de pomme... Cette toile relate un fait divers, ayant eu lieu à Los Angeles, en 1928… Un samedi matin, dans une banlieue ouvrière, une jeune femme, célibataire, Christine Collins, après avoir dit au revoir à son fils Walter, quitte ce dernier pour aller travailler. Le soir, quand elle rentre chez elle, elle retrouve la maison vide… Elle s'engage, alors, dans une longue recherche effrénée. Après cinq mois d’enquête, la police lui ramène un garçon de 9 ans, qu'on lui dit être Walter. Désorientée par l’empressement, tant des policiers que des reporters, à donner une fin heureuse et rapide à cette tragédie, et par ses propres émotions, Christine ramène le garçon chez elle. Mais, elle sait, au plus profond de son être, qu'il n'est pas son fils... Aussitôt, elle commence, avec un courage et une force exemplaire, une lutte désespérée pour retrouver ce dernier, avec l'aide du très engagé Pasteur Briegleb.
Mais, en essayant de convaincre les Autorités de continuer à mener l’enquête, elle réalise vite que dans le contexte d’un Los Angeles en pleine Prohibition, il n’est pas pensable qu’une femme remette en cause le Système et se fasse entendre. D’ailleurs, la police locale, qui agit comme « une véritable mafia » (qui a le droit de vie et de mort sur les citoyens…), fera tout pour faire taire cette « rebelle », et l’obliger à admettre que le petit garçon retrouvé est bien le sien ; quitte à l’enfermer dans un asile psychiatrique... en l’accusant d'être « délirante », « irresponsable », et « dangereuse pour sa vie et pour celle des autres ». Ces différentes atteintes à ses droits fondamentaux d’Etre Humain vont pousser Christine à s’attaquer aux Autorités de la Ville et à la corruption gangrénant les services de police. Cela entraînera, même, au final, la non-réélection du Maire et le renvoi des principaux responsables des « forces de l’ordre ».
UNE AFFAIRE QUI A FAIT PLIER LE SYSTEME !
Christine continuera en vain à rechercher son fils, tout au long de sa vie. Elle ne retrouvera, donc, jamais la paix intérieure. « L'Echange » est une œuvre magistrale qui révolte les bonnes consciences, un combat militant pour la liberté de retrouver ceux qu’on aime, sans être pour autant être enfermé contre son gré ! L’Etat Californien et la Ville de Los Angeles contraints par le système judiciaire sont sortis ébranlés de cette histoire sordide, en devant respectivement faire abroger des lois liberticides et en remettant en cause la toute puissance de la police locale. Exemple à suivre… dans de nombreux pays à mon avis !
© Jean Dorval, le 21 novembre 2008, pour LTC.
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02/11/2008
MESRINE : ROBIN DES BOIS MODERNE OU ENNEMI PUBLIC N° 1 ?
Actuellement, on trouve dans les salles obscures, le film « Mesrine : L’instinct de mort », Partie Une. Le deuxième volet de cette biographie, « Mesrine : L’ennemi public n° 1 », sortira le 19 novembre prochain… Produit par le jeune Thomas Langmann et réalisé par Jean-François Richet, sur un scénario d'Abdel Raouf Dafri, ce dyptique a été doté d'un budget de 45 millions d'euros. Cette toile, c’est du talent à l’état brut ! Du réalisme dans le cynique et de la soudaineté dans la violence ! Cette pellicule consacrée au célèbre gangster, nommé Mesrine, c’est de la dynamite ! Le fameux bandit y est interprété, par l’excellent Vincent Cassel, qui est aux côtés d’acteurs qui n’en sont pas à « leurs premières armes », comme Gérard Depardieu, Gilles Lellouche, Gérard Lanvin, Michel Duchaussoy, Samuel Le Bihan et Mathieu Almaric. Ludivine Saigner, Cécile de France et Florence Thomassin apportent, quant à elles, leur touche très féminine dans un monde de « Couillus ».
Quand on parle de Jacques Mesrine, on se rappelle du braqueur de banques, du kidnappeur et du roi de l'évasion. Il s’est notamment échappé des quartiers de haute sécurité nord-américains, et d'une cour de justice en France en prenant en otage le juge. « L'homme aux mille visages » était aussi un séducteur de jolies femmes, un amateur de très belles prostitués, un très bon papa (de trois enfants...), un joueur de poker invétéré, un grand buveur, un ami fidèle, un anarchiste au grand cœur, un Anti-Système, un provocateur, une personne incontrôlable, un revendicatif anti-QHS (car ils « brisent les hommes… »), un héros pour certains, un bandit international très recherché, mais aussi un homme violent avec sa première épouse, un ancien membre de l’OAS, qui a pratiqué la torture en Algérie, en tant que militaire, contre les terroristes du FLN… Il sema la terreur sur le territoire français vingt ans durant. Il a été abattu, le 02 novembre 1979, par la Brigade de Recherche et d'Intervention, des Commissaires Robert Broussard et Lucien Aimé-Blanc - soit le fameux « Anti-Gang » - à Paris, Porte de Clignancourt. Alors, Mesrine, ange ou démon ? A vous de vous faire votre propre jugement, en allant voir les deux opus dédiés à ce voleur/tueur décidément pas comme les autres…
© Jean dorval, le 02 novembre 2008, pour LTC.
INFOS PLUS : http://www.mesrine-lefilm.com/
A écouter, le groupe Trust avec « Mesrine » sur YouTube :
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01/11/2008
A VOIR « QUANTUM OF SOLACE », LE DERNIER BOND !
Aujourd’hui, je suis allé voir pour vous le dernier Bond, « Quatum of Solace », qui finalement sortait le 31 octobre… (2008, bien sûr !). Et pour ne rien vous cacher, j’ai apprécié ce nouvel opus de la célèbre série. Tout d’abord, car je suis un fou furieux de ce vieux Bond, mais en plus, il le vaut bien ! En effet, il y a de quoi rêver pour le petit bobo matérialiste ordinaire que je suis : des jolies femmes, de belles bagnoles, de l’action, des effets spéciaux, des gadgets à couper le souffle, des paysages magnifiques, une musique à fond dans le rythme, du suspens, etc. Et si je suis loin de ressembler totalement à mon héros, il y a cependant toujours un peu de « Boris 000 » en moi, un côté citadin-rebelle qui rêve d’aventure pour tenter de s'évader de son univers aseptisé ; ce qui me donne l’impression, comme de nombreuses personnes, d’être proche de ce personnage mythique, tout en étant très éloigné… Le film commence par une vue plongeante, à toute vitesse, sur la mer ; puis dans la foulée on tombe, nez à nez, avec une course poursuite, dans laquelle s’enchaîne les cascades délirantes, et où Bond nous donne une sublime leçon de conduite en situation très périlleuse. Dommage que d’aussi belles voitures soient abîmées pour la bonne cause cinématographique… L’histoire de ce dernier « 007 » (à ne pas confondre, donc, comme déjà précisé, avec « Boris 000 »…) relate la vengeance de Bond, qui est prêt à tout pour démasquer ceux qui ont forcé son ex-compagne décédée, Vesper Lynd (une délicieuse brunette), à le trahir… James qui ne rechigne pas sur les heures sups (et qui grâce à cela augmente continuellement son pouvoir d’achat… euh pardon, de séduction !) va croiser sur son chemin deux autres charmantes petites brunes, dont exprès, je ne vous donne ni les noms, ni les mensurations, afin d’éviter les querelles dans les couples… Sachez enfin, que le scénario tourne autour des magouilles d’une organisation secrète qui semble contrôler tous les rouages du Pouvoir dans le monde et notamment en Amérique du Sud ; au point de faire chuter à sa guise les gouvernements et de profiter abusivement des ressources des pays concernés. Il paraît, même, que le prix de l’eau risque de fortement augmenter en Bolivie… De la fiction à la réalité, il y a quelques fois qu’un pas… Ce Bond là, comme toutes les autres, est du pur concentré d’action. Mais, je vous quitte car, là, je dois sauter en parachute sur La Paz, pour une mission avec James… « My name is Jean, Jean Dorval ! »
© Jean Dorval, le 31 octobre 2008, pour LTC.
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31/10/2008
INAUGURATION DE LA SALLE DE L'ECOLE DE METZ...
Les visiteurs des Musées de Metz Métropole La Cour d’Or peuvent désormais découvrir la nouvelle salle d’exposition présentant une sélection d’œuvres peintes et dessinées par les artistes de l’École de Metz.
Le fonds du Musée permettra un renouvellement de l’accrochage présentant au public la trentaine d’artistes qui, groupés autour de Maréchal, firent la richesse de ce foyer artistique. De 1834 à 1870, le mouvement de l’École de Metz, très influencé par Delacroix, à la fois ancré dans le pays messin et ouvert vers l’Allemagne, s’affirmera comme une école originale dans des arts aussi divers que la peinture, le vitrail, le pastel, le dessin ou la gravure. Saluée par Baudelaire dans son Salon de 1845, reconnue à Paris comme en province, elle est sensible à l’évocation des paysages du pays messin, à l’exotisme des modèles bohémiens ou la glorification du brillant passé médiéval de la cité.
Par ailleurs, la nouvelle salle de l’École de Metz, insérée dans le parcours des salles de peintures après la salle du XIXe siècle, sera la première salle permanente de la section Beaux-Arts dotée de cimaises en couleur.
L’École de Metz retrouve ainsi au Musée, un espace permanent essentiel à son évocation dans la ville qui l’a vu naître et a su l’inspirer.
Une Néo signée Jean DORVAL
pour LTC ARTS le 31/08/2008
Source : http://musees.ca2m.com
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29/10/2008
SON NOM EST « BOND, JAMES BOND ! »
La sortie du 22ème épisode des aventures de l’agent 007 est prévue le 5 novembre 2008 en France, et perso, j’ai hâte d’être à ce rendez-vous très prometteur. L’attente se fait déjà ressentir, au point, que j’ai même commis l’erreur de croire, et de dire à plusieurs amis, que ce film tant attendu sortait aujourd’hui… Mais, j'ai rêvé !
Jean Dorval, pour LTC
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21/10/2008
BIENTOT, TRES BIENTOT... LE PROCHAIN BOND (A NE PAS CONFONDRE AVEC BORIS "000"...) !
Comme vous le savez, Vincent Maniglia et moi-même, craquons toujours pour les films dont le héros est James Bond...
Alors, n'hésitez pas à gagner des avant-premières sur RTL pour nous deux !!!
JD, pour LTC.
INFOS PLUS : http://www.rtl.fr/
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